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Bac (Rue du)
Baptisée ainsi en 1564 en raison d'un
bac qui permettait à cet endroit de
franchir la Seine. |
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Bailliage (Rue du) C'est dans cette rue que siégeait le baillage de Rouen. Sous l'Ancien Régime, le baillage était une circonscription administrative et judiciaire.
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Bammeville (Rue de) |
Barbet (Rue Henry)
Henry BARBET né en1789 à Déville
dans une famille protestante - mort en
1857 à Valmont; maire de Rouen
(1830-1847) durant
17 ans ,qu'il modernisa (construction de
la ligne de chemin de fer, créations de
musées...). Fils de Jacques Barbet,
fondateur d'une manufacture indienne à Déville
et frère de Jacques Juste Barbet de Jouy (nom de la toile qu'il inventa). |
Barbey d’Aurevilly (Rue)
Jules Barbey d'Aurevilly, écrivain français né à Saint-Sauveur-le-Vicomte (Manche) le 2 novembre 1808, décédé à Paris le 23 avril 1889.
Oeuvres principales : Le Chevalier Des Touches (1864), Un prêtre marié (1865), Les Diaboliques (1874). |
Barcelone (Rue de) |
Barrabe (Rue Alexandre)
Alexandre Barrabé, né le 20 décembre 1816 à Athis-de-l'Orne, mort en 1897, fut maire de Rouen de 1876 à 1881.
Licencié en droit en 1840, Alexandre Barrabé est notaire à Ségrie-Fontaine de 1842 à 1849 puis à Elbeuf de 1849 à 1863. Il est élu au conseil municipal de Rouen en août 1870 et nommé adjoint au maire en septembre 1870. Lors de la guerre contre la Prusse, il organise et conduit un convoi de 4 500 kg de pain et 3 000 kg de viande pour les troupes françaises à Buchy dans la nuit du 3 au 4 décembre 1870,.
Il est élu président de la Société centrale d'horticulture de la Seine-Inférieure en 1873.
Il est nommé officier d'académie en 1873 et chevalier de la Légion d'honneur en 1876.
Il est inhumé cimetière du Monumental de Rouen.
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Barthélemy (Place)
Cette place est née en 1854 de l’élargissement de l’ancienne rue Caquerel.
Le peintre Adrien Segers y vécut jusqu'à la destruction de son domicile lors des bombardements de la fin mai 1944.
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Basnage (Rue de) |
Basse (Rue) |
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Basse Vieille Tour (Place)
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Baudoin (Rue Paul) |
Bazire (Rue Abbé)
L'abbé Bazire: fondateur de l'Oeuvre hospitalière de nuit et de l'oeuvre Notre-dame des forains. Aumonier des Ursulines. Né à Rouen le 1er 1845 et mort également à Rouen le 17 mai 1910, il a vécu au 41 boulevard Saint-Hilaire.
Le foyer de l'Abbé-Bazire, situé au 41 boulevard de Verdun à Rouen, accueille une centaine de SDF en urgence chaque jour. |
Beaulieu (Impasse) |
Beaulieu (Rue) |
Beaurepaire (Rue Charles de)
Charles Marie de Robillard de
Beaurepaire, né le 24 mars
1828 à Avranches et mort le 12 août 1908
à Rouen, est un architecte et
archiviste-paléographe français.
Frère cadet de l’historien Eugène de
Robillard de Beaurepaire, il fit toute
sa carrière à Rouen. Sorti de l’École
des Chartes en février 1851, il est
nommé archiviste aux archives
départementales de la Seine-Inférieure
le resta jusqu’en 1905.
Il fut également un membre fondateur de
la Société des bibliophiles normands et
de la Société de l'histoire de
Normandie. L’Académie de Rouen l’admit
dans ses rangs en 1853. |
Beauvoisine (Place) Jusqu'en 1983, la foire Saint-Romain y prenait
ses quartiers à la Toussaint, une manifestation populaire qui a
pris la suite de l'ancienne Foire du Pardon remontant à la
période ducale. S’y cotoyaient marchands de bestiaux, de
linges, faïences, chaudrons, etc., théâtres ambulants, troupes
équestres, ménageries et autres « curiosités » anatomiques…
qui fascinaient tant George Sand en novembre 1866, alors
l’hôte de son ami Gustave Flaubert. Ce dernier mentionne la
place Beauvoisine dans « Madame Bovary », à la fin de la
« brûlante » promenade en fiacre avec Léon. Emma y prend la
diligence pour Yonville au relais de poste situé dans
l’immeuble du bas de la rue d’Ernemont, à l’angle du
boulevard de l’Yser.
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Beauvoisine (Rampe) |
Beauvoisine (Rue)

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Bec (Rue du) |
Beffroy (Rue) |
Béguines (Rue des) |
Bel Air (Rue du) |
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Belges (Boulevard des)
Le Conseil Municipal de Rouen décida de
donner le nom de Boulevard des Belges au
boulevard Cauchoise en octobre 1914 en
l'honneur de nos alliés belges nombreux
à passer par Rouen fuyant l'avancée des
troupes allemandes. |
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Bellevue (Rue de) |
Bérat (Rue Frédéric)
Frédéric Bérat poète et chansonnier né à Rouen le 11 mars
1801 et mort en 1855 à Paris, ami du célèbre chansonnier Béranger.
Il a composé nombre de chansons à succès, dont La Lisette de
Béranger (1843), Les Nouvelles de Paris (1854), Mimi Pinson, Ma
prison, Bonne espérance, Le Départ, La Montagnarde, Le Retour du
petit Savoyard et Le Berger normand. Mais c’est surtout pour Ma Normandie, qu’il composa en 1836 sur le bateau qui le menait de sa
ville natale à Sainte-Adresse, qu’il est passé à la postérité.
Frédéric Bérat est enterré au cimetière du Père-Lachaise. |
Bertrand (Rue) |
Béthencourt (Allée Jean de) |
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Béthencourt (Bd Jean de)
Jean
de Béthencourt, seigneur de
Grainville-la-Teinturière
ayant entrepris en 1402, pour son propre
compte, la conquête des îles Canaries. |
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Béthencourt (Quai Jean de) |
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Bihorel (Rue de) |
Bizet (Rue du) |
Blainville (Rue de) Jusqu'en 1867 la rue du Clos de
Campulley |
Blanchard (Rue Alain) Alain Blanchard, né au XIVe siècle
siècle et exécuté en 1419, était
capitaine des arbalétriers de Rouen
durant la guerre de Cent Ans.
Henri IV d'Angleterre étant venu en 1418
mettre le siège devant la ville de
Rouen, Blanchard se mit à la tête d’une
partie de la population et défendit
cette ville avec bravoure et résolution,
en retardant la prise de plusieurs
jours.
Lorsque les Rouennais furent, en janvier
1419, forcés de capituler devant la
famine qui les décimait, les Anglais
exigèrent, lors de la reddition de la
ville, que trois des plus notables de
ses habitants lui soient livrés pour
être décapités. Les victimes désignées
furent Robert Livet, vicaire général de
l’archevêque, Jean Jourdain, maître de
l’artillerie et Alain Blanchard.
Robert Livet et Jean Jourdain
rachetèrent leur vie en payant une
rançon au roi d’Angleterre sur une
partie de leurs biens. Sans fortune,
Alain Blanchard fut, quant à lui,
décapité. |
Blanche (Rue du Docteur)
Nommé en 1821 chirurgien en chef de
l'hôpital général de Rouen. |
Bochard (Rue Samuel) |
Boieldieu (Pont)
François Adrien Boieldieu, né le 16
décembre 1775 à Rouen et mort le 8
octobre 1834 à Varennes-Jarcy.
Compositeur français né sous l'Ancien
Régime, Boieldieu fit ses armes pendant
la Terreur, acquit la célébrité durant
le Consulat et l'Empire, fut honoré par
les Bourbons puis ruiné par la
Révolution de Juillet. Il demeure le
principal compositeur français d'opéras
du premier quart du XIXe
siècle. |
Bois Bagnères (Chemin du) |
Boisguilbert (Boulevard de) |
Boisguilbert (Quai de)
Appelé jusqu'en 1893 quai de Lesseps . |
Bon Pasteur (Passage du) |
Bondeville (Rue Emmanuel de) |
Bonne Nouvelle (Place) |
Bonnefoi (Rue) |
Bonnetiers (Rue des) |
Bons Enfants (Rue des) |
Bonsecours (Route de) |
Bordes (Rue Léonard) |
Boucher (Rue Victor) |
Boucheries Saint-Ouen (Rue
des) |
Bouctot (Rue Georges) |
Boudin (Rue Eugène)
Eugène-Louis Boudin, né à Honfleur
(Calvados) le 12 juillet 1824 et mort à
Deauville (Calvados) le 8 août 1898, fut
l'un des premiers peintres français à
saisir les paysages à l'extérieur d'un
atelier. Grand peintre de marines, il
est considéré comme l'un des précurseurs
de l'impressionnisme. |
Bouilhet (Impasse Louis) |
Bouilhet (Rue Louis)
Louis Hyacinthe Bouilhet,
écrivain né à Cany le 27 mai 1822 et
mort à Rouen le 18 juillet 1868. Louis
Bouilhet a exercé, après l'abandon de la
médecine étudiée sous le père de Gustave
Flaubert, les professions de professeur
de littérature, conservateur de la
bibliothèque de Rouen. Il a appartenu
aux mouvements littéraires romantique et
parnassien.
Il fut condisciple puis
ami de Flaubert, à qui il dédia son
premier ouvrage Melaenis, conte
romain (1857) poème historique en cinq
chants, qui décrivait les mœurs romaines
sous l’empereur Commode et qui le fit
remarquer. L’histoire littéraire moderne
se souvient moins de Bouilhet pour ses
propres écrits que pour le rôle
essentiel qu’il a joué auprès de
Flaubert car c'est lui qui lui mit
devant les yeux le fait divers qui
devait inspirer Madame Bovary qui
lui fit lire chaque page du roman en
gestation dont il fut le critique
impitoyable mais toujours juste. Comme
dramaturge il obtint un certain succès
avec sa première pièce, Madame de
Montarcy (1856), qui fut jouée pendant
soixante-dix-huit soirées à l’Odéon ;
Hélène Peyron (1858) et L’Oncle
Million (1860) , La Conjuration
d'Amboise (1866).
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Boulet (Quai Gaston) |
Boulingrin (Place du) |
Bouquet (Rue) |
Bourg-l’Abbé (Rue) |
Bourse (Quai de la)
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Bouvreuil (Rampe) |
Bouvreuil (Rue) |
Braille (Rue Louis) |
Bras de Fer (Rue) |
Brazza (Rue Savorgnan de) Baptisée ainsi en 1905. |
Bretagne (Avenue de) |
Briand (Avenue Aristide)
Anciennement avenue Saint-Paul
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Brisout de Barneville (Rue) |
Brument (Rue le) |
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Brune (Rue Louis)
Louis Brune né en 1807 et mort à
Rouen en 1843. Il sauva 63 personnes de
la noyade dans la Seine mais meurt en
tentant d'en sauver une autre
le 25 décembre 1843. |
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Buffon (Rue de) |