Constant Lecœur est né à Grémonville le 16 novembre 1923 et décédé à Yvetot le 23 mai 2000. Agriculteur, il fut député radical-socialiste de la Seine-Maritime(1956-1958) et élu maire de Grémonville en 1953. Il devient également président de l'union agricole de Grémonville et de son foyer rural et administrateur des foyers ruraux de Seine Maritime.
Père de 6 enfants, homme de cœur, il s'engage auprès des plus démunis et crée l'association "La Brèche", dont le but est de favoriser la réinsertion des exclus de la société.
Il réunit, d'autre part, 25 000 objets usuels sur la vie rurale (dont près de 1 000 poêles Godin), la vie quotidienne et les hommes célèbres du pays de Caux, au musée du pays de Caux, au Fay.
En 1956 en revanche, à trente-trois ans, Constant Lecœur est élu dans la 1ère circonscription de Seine-Maritime, avec un programme de soutien à Pierre Mendès France et d'opposition à l'égard de la politique d'Edgar Faure et ce, grâce à une alliance avec la SFIO.
Nommé membre de la Commission des affaires économiques, de la Commission des boissons et de celle de l'agriculture, il est aussi nommé membre du comité de contrôle du Fonds d'encouragement à la production textile. Il propose une loi visant à interdire le cumul des exploitations agricoles (27 janvier 1956), conformément à ses engagements électoraux. En matière agricole, ses propositions concernent aussi le prix du blé, la révision du cadastre, ou encore la réglementation du privilège des bouilleurs de cru; il demande également l'institution d'un secrétariat d'État à la jeunesse (16 mai 1956). Et le 25 avril 1956, il dépose une proposition de loi tendant à maintenir l'exonération fiscale des associations culturelles d'éducation physique et sportive, de tourisme, de jeunesse et d'éducation des adultes habilitées par les ministères concernés à diffuser la culture.
Lors de la crise qui emporte la Quatrième République, il soutient l'investiture de Pierre Pflimlin (13 mai 1958), vote en faveur de la révision de la Constitution (27 mai 1958) mais refuse la confiance au général de Gaulle (1er juin 1958) ainsi que les pleins pouvoirs le 2 juin 1958.
Il sera battu aux législatives de 1958 et se consacrera désormais à sa commune.
Père de 6 enfants, homme de cœur, il s'engage auprès des plus démunis et crée l'association "La Brèche", dont le but est de favoriser la réinsertion des exclus de la société. Il réunit, d'autre part, 25 000 objets usuels sur la vie rurale (dont près de 1 000 poêles Godin), la vie quotidienne et les hommes célèbres du pays de Caux, au musée du pays de Caux, au Fay.
En 1956 en revanche, à trente-trois ans, Constant Lecœur est élu dans la 1ère circonscription de Seine-Maritime, avec un programme de soutien à Pierre Mendès France et d'opposition à l'égard de la politique d'Edgar Faure et ce, grâce à une alliance avec la SFIO. Nommé membre de la Commission des affaires économiques, de la Commission des boissons et de celle de l'agriculture, il est aussi nommé membre du comité de contrôle du Fonds d'encouragement à la production textile. Il propose une loi visant à interdire le cumul des exploitations agricoles (27 janvier 1956), conformément à ses engagements électoraux. En matière agricole, ses propositions concernent aussi le prix du blé, la révision du cadastre, ou encore la réglementation du privilège des bouilleurs de cru; il demande également l'institution d'un secrétariat d'État à la jeunesse (16 mai 1956). Et le 25 avril 1956, il dépose une proposition de loi tendant à maintenir l'exonération fiscale des associations culturelles d'éducation physique et sportive, de tourisme, de jeunesse et d'éducation des adultes habilitées par les ministères concernés à diffuser la culture.
Lors de la crise qui emporte la Quatrième République, il soutient l'investiture de Pierre Pflimlin (13 mai 1958), vote en faveur de la révision de la Constitution (27 mai 1958) mais refuse la confiance au général de Gaulle (1er juin 1958) ainsi que les pleins pouvoirs le 2 juin 1958.
Il sera battu aux législatives de 1958 et se consacrera désormais à sa commune.