Actrice de la Comédie-Française née à Paris en 1802 et morte le 25 juillet 1871 à Louveciennes. Fuyant un amour malheureux, elle tombe sous le charme de ce village en 1826 et y attire ses amis, hommes de lettres et artistes parisiens . Parmi ceux-ci, citons Étienne Mélingue, Jules Michelet, Paul Meurice, les Frères Goncourt, Coppée. L'écrivain Paul Meurice y reçoit à plusieurs reprises son ami Victor Hugo. Veules devient alors un lieu de villégiature à la mode, de jolies villas vont être construites.
Entrée à la Comédie-Française en 1816 , sociétaire en 1832 , retraitée en 1851, « Mademoiselle Anais » se fait une spécialité des rôles travestis que refuse de jouer sa principale rivale, « Mademoiselle Mars ». Mais elle sait aussi se faire aimer du public dans les ingénues du répertoire : Agnès (L'Ecole des femmes) ; Marianne (Tartuffe) ; Henriette (Les Femmes savantes) ; Rosine (Le Barbier de Séville), etc.
Anais Aubert est au cœur de la nouvelle de Michel Bussi parue en 2018 sous le titre "T'en souviens-tu mon Anais".
Actrice de la Comédie-Française née à Paris en 1802 et morte le 25 juillet 1871 à Louveciennes. Fuyant un amour malheureux, elle tombe sous le charme de ce village en 1826 et y attire ses amis, hommes de lettres et artistes parisiens . Parmi ceux-ci, citons Étienne Mélingue, Jules Michelet, Paul Meurice, les Frères Goncourt, Coppée. L'écrivain Paul Meurice y reçoit à plusieurs reprises son ami Victor Hugo. Veules devient alors un lieu de villégiature à la mode, de jolies villas vont être construites.
Entrée à la Comédie-Française en 1816 , sociétaire en 1832 , retraitée en 1851, « Mademoiselle Anais » se fait une spécialité des rôles travestis que refuse de jouer sa principale rivale, « Mademoiselle Mars ». Mais elle sait aussi se faire aimer du public dans les ingénues du répertoire : Agnès (L'Ecole des femmes) ; Marianne (Tartuffe) ; Henriette (Les Femmes savantes) ; Rosine (Le Barbier de Séville), etc.
Anais Aubert est au cœur de la nouvelle de Michel Bussi parue en 2018 sous le titre "T'en souviens-tu mon Anais".
