Eglise et Monument aux Morts
La mention de l'église figure dès 1024 dans l'acte, signé par Richard II, duc
de Normandie, énumérant les possessions de l'abbaye de Saint-Wandrille. Dépendante du diocèse de Rouen jusqu'à la Révolution, comme en témoignent des pouillés de 1704 et 1738, elle garde aujourd'hui encore des traces de son passé: trois fenêtres murées, dont les deux latérales sont en plein cintre, celle du milieu formant une ogive naissante. La voûte de la nef est reconstruiteen 1774 et les chaises remplacent les
bancs donnés au XIXe siècle par les
Godebin. Des trois cloches que possédait l'église, deux sont enlevées en 1795 par les révolutionnaires. La troisième, refondue, portait la date de 1504. Il y figurait le nom d'Adrien de La Heuze, seigneur de Bailleul et
de Bosc-Geoffroy.
La mention de l'église figure dès 1024 dans l'acte, signé par Richard II, duc de Normandie, énumérant les possessions de l'abbaye de Saint-Wandrille. Dépendante du diocèse de Rouen jusqu'à la Révolution, comme en témoignent des pouillés de 1704 et 1738, elle garde aujourd'hui encore des traces de son passé: trois fenêtres murées, dont les deux latérales sont en plein cintre, celle du milieu formant une ogive naissante. La voûte de la nef est reconstruiteen 1774 et les chaises remplacent les bancs donnés au XIXe siècle par les Godebin. Des trois cloches que possédait l'église, deux sont enlevées en 1795 par les révolutionnaires. La troisième, refondue, portait la date de 1504. Il y figurait le nom d'Adrien de La Heuze, seigneur de Bailleul et de Bosc-Geoffroy.