Les rues du Havre d'hier et d'aujourd'hui commençant par la lettre C

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Les rues du Havre d'hier et d'aujourd'hui

C
Cabaret du Bois (Sente du)
Cablerie (Allée de la)
Cachin (Rue Marcel)
Cadix (Quai de)
Caen (Rue de)
Caillard (Place)
Caillard (Sente)
Caligny (Rue de)
Callet (Quai Pierre)
Calmette (Rue du Docteur)
Cambronne (Rue)
Camélias (Rue des)
Camelinat (Rue)
Cameroun (Quai du)
Camus (Rue Albert)
Canada (Avenue du)
Canadiens (Rue des)
Canal (Route du)
Cance (Rue René)
Caplet (Rue André)	André Caplet, compositeur et chef d'orchestre né au Havre le 23 novembre 1878 et mort à Neuilly-sur-Seine le 22 avril 1925.Violoniste brillant. Comme Claude Debussy en 1884, il remporta le Prix de Rome en 1901 (devant Maurice Ravel), ce qui fut à l'origine de leur amitié et de leur collaboration. Il composa des œuvres vocales et religieuses, telles que la Messe des petits de Saint-Eustache-la-Forêt (1919), Pie Jesu (1919) et Le Miroir de Jésus (1923). Également chef d'orchestre, il créa le Martyre de Saint-Sébastien de Debussy en 1911. Il dirigea également à l'opéra de Boston de 1910 à 1914.En 1914, nommé chef de l'orchestre de l'Opéra de Paris et, bien qu'exempté du service militaire, Caplet s'engage au moment de la déclaration de la Première Guerre mondiale. Gazé, sa santé l'empêchant de continuer sa carrière de chef d'orchestre, il se consacre ensuite essentiellement à l'orchestration (La boîte à joujoux, Jet d'eau ou Clair de lune de Claude Debussy par exemple) et à la composition avec une dominante religieuse (Messe à trois voix, La part à Dieu ou Le miroir de Jésus : mystères du Rosaire[1]… )Ses œuvres instrumentales ont mis en musique des thèmes populaires persans, Salammbô de Flaubert (1902), le Conte fantastique d'après le Masque de la mort rouge d'Edgar Allan Poe ou la Suite persane pour double quintette à vents.
Capuchet (Rue du)
Carco (Rue Francis)
Cargill (Rue William)
Carlier (Place Léon)
Carnot (Rue Sadi)
Carpeaux (Rue)
Carrel (Rue Armand)	Armand Carrel, journaliste et écrivain politique né à Rouen en 1800 et mort lors d'un duel le 25 juillet 1836 à Saint-Mandé, français. Fils d'un marchand aisé, Armand Carrel fait ses études à Rouen puis intègre Saint-Cyr dont il sort avec le grade de sous-lieutenant. Entré dans l'armée, il prend part à la conspiration de Belfort, un complot militaire visant à renverser les Bourbons et à proclamer la République. Lorsque la guerre avec l'Espagne éclate en 1823, il donne sa démission et s'engage dans un bataillon français de la Légion étrangère espagnole qui combat pour la cause constitutionnelle contre ses anciens camarades. Fait prisonnier il est d'abord condamné à mort par un conseil de guerre. Il sera finalement acquitté par un autre tribunal et libéré. De retour à Paris, il écrit pour divers journaux : le Constitutionnel, le Globe, le Producteur, la Revue américaine et la Revue française. Il fonde en 1830 le National avec Thiers, quotidien républicain qui jouera un grand rôle dans l’avènement des Trois Glorieuses par ses attaques incessantes contre le régime de Charles X. Les journées de juin 1832 et la répression qui s’ensuit le font définitivement passer dans le camp républicain. Le National devient le principal organe de l’opposition. Ses opinions lui attirent de nombreux ennuis, dont un emprisonnement à Sainte-Pélagie, plusieurs passages devant les tribunaux et deux duels avec des rédacteurs de journaux rivaux. La dernière affaire est sa querelle avec le fondateur de La Presse, lancé le 1^er janvier 1836 par Émile de Girardin. Lors du duel qui a lieu le 22 juillet 1836, Girardin est blessé à la cuisse et Carrel à l’aine. Transporté chez un ami, il succombe à sa blessure deux jours plus tard. Ses obsèques donnent lieu à une grande manifestation silencieuse suivie aussi bien par Chateaubriand que Arago, Alexandre Dumas…
Carrette (Quai André)
Cartier (Rue Jacques)
Casaux (Rue Edmond)
Cavée Verte (Impasse de la)
Cavée Verte (Rue de la)
Cazavan (Rue Gustave)	Gustave Cazavan, né le 15 août 1803 en Martinique d’un père maître en chirurgie à Fort-Royal. Journaliste au National, il devint le rédacteur en chef du Journal de Rouen en 1833 et le resta durant toute la Monarchie de Juillet. Républicain convaincu, il joua un grand rôle dans la diffusion des idées républicaines dans la région du Havre. En 1848, il est nommé adjoint au maire de Rouen puis préfet de Haute-Garonne puis de Vendée la même année. En 1849, il redevient journaliste au Siècle avant de se retirer en Seine-Inférieure après la prise de pouvoir de Napoléon III.
Cent Vingt Neuvième (Rue)
Chandelier (Place Henri)
Chandelier (Rue Henri)
Chaptal (Rue)
Charcot (Rue Jean)
Charpentier (Rue Gustave)
Chevalier (Rue du)
Chillou (Rue du)
Chopin (Rue)	Frédéric Chopin (1810-1849) est l'un des plus célèbres pianistes virtuoses du 19ème siècle et un grand compositeur de musique romantique. Né en Pologne, il quitte son pays natal en 1830, s'installe à Vienne puis arrive en France en 1831 où il passe le reste de sa vie.Il rencontre de nombreux artistes (Liszt, Mendelssohn...) ainsi que George Sand qui partagera sa vie durant 11 ans.
Clémenceau (Boulevard)
Clerc (Rue Joseph)
Cochet (Rue)
Colbert (Quai)	Jean-Baptiste Colbert (23 août 1619, Reims - 6 septembre 1683, Paris) fut contrôleur général des finances de Louis XIV de 1665 à 1683. . Promoteur d'une politique économique interventionniste, il favorise le développement du commerce et de l'industrie en France par la création de fabriques étatiques. Une politique économique appelée « colbertisme ».
Collard (Rue)
Comète (Impasse de la)
Commune (Place de la)
Commune (Rue de la)
Comte (Rue Auguste)	Auguste Comte , né le 19 janvier 1798 à Montpellier (Hérault) et mort le 5 septembre 1857 à Paris. Philosophe et sociologue français, il fut le secrétaire de Saint-Simon de 1817 à 1824. Il forgea en 1839 le terme de sociologie dans son Cours de Philosophie Positive pour désigner l’étude des lois relatives aux phénomènes sociaux.
Condé (Impasse de)
Condé (Rue de)
Conquérant (Rue Guillaume le)
Constantine (Rue de)
Copernic (Rue)	Nicolas Copernic, né le 19 février 1473 à Thorn (Royaume de Pologne) et mort le 24 mai 1543, était un chanoine, médecin et astronome de langue allemande. Il est l'auteur célèbre de la théorie selon laquelle le Soleil se trouve au centre de l'Univers (héliocentrisme) et la Terre-que l'on croyait auparavant centrale-tourne autour de lui.
Corbeaux (Avenue Lucien)
Corbière (Rue Édouard)
Corridor (Impasse du)
Corridor (Rue du)
Côte Brûlée (Rue de la)
Cottard (Rue Pierre)
Coty (Avenue René)	(1882-1962),né au Havre, il fut avocat, député, sénateur, ministre, président du Conseil de 53 à 58. Il habita la Villa La Ramée à Étretat de 1943 à sa mort.

Coty (Impasse)
Coty (Rue Germaine)	Germaine Corblet (1886-1959) fille d'un armateur havrais qui était l'épouse du président de la République René Coty. Elle avait séduit les français par sa gentillesse et sa simplicité.
Courant (Place Pierre)	Pierre Courant est un homme politique, né le 12 septembre 1897 au Havre et décédé le 22 mars 1965 dans sa ville natale. Avocat, ancien bâtonnier, il est élu député de la Seine-Inférieure à l’Assemblée nationale comme républicain-indépendant (CNI) de 1946 à 1962 et se prononce en faveur du retour du Général de Gaulle au pouvoir en 1958. Maire du Havre de 1941 à 1944 puis de 1947 à 1954. Conseiller général depuis 1945, il fut président de l’assemblée départementale. Plusieurs fois ministre sous la IV^e République -Ministre du Budget du gouvernement René Pleven (2) (du 11 août 1951 au 20 janvier 1952) -Ministre du Budget du gouvernement Edgar Faure (1) du 20 janvier au 8 mars 1952 -Ministre de la Reconstruction et du Logement du gouvernement René Mayer (du 8 janvier au 28 juin 1953)
Crimée (Passage de la)
Crique (Rue de la)
Cronstadt (Rue de)